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Acheter un piano remis à neuf vieux de plus de 100 ans a vraiment été beaucoup plus amusant pour moi qu'un nouveau venu dans la pièce après votre autographe. En décidant vous-même comment sera votre instrument, et parce que Jos m'a tenu informé tout au long du projet, il devient vraiment le vôtre !

Ce que j'ai vraiment aimé, c'est l'avancée du projet et la façon dont Jos m'a tenu informé. La tension et l'impatience étaient parfois insupportables, mais au final, cela en valait largement la peine.

L'enthousiasme et le savoir-faire de Jos, combinés à de bons matériaux, ont conduit à un magnifique piano qui a senti le mien bien avant qu'il ne soit dans la pièce.August Förster
Jugement d’un client
« Depuis déjà des années, Jos était l’accordeur de mon piano vieilli, et cela à mon entière satisfaction. C’est plein d’enthousiasme qu’il me parlait des pianos restaurés qui attendaient un nouveau propriétaire dans son atelier. Je suis allé l’y voir et me suis soudain épris d’un August Förster de 100 ans. Le comparant à plusieurs marques différentes, j’ai conclu que Förster remporte largement la victoire.
Tous deux, Jos et moi, nous avons discuté les options diverses de rénovation. Jos en a retenu trois pour que je puisse m’arrêter à un choix pouvant me satisfaire sur tous les points de vue personnels.
En effet, grâce à ses cordes neuves – notamment pour la basse (artisanat hollandais !) – aux feutres neufs, au renouvellement des têtes de marteaux, comme des chevilles de réglage, Jos a su créer un instrument superbe.
Un vieux piano restauré, en partie à base de mon goût personnel, m’a paru plus attrayant qu’un instrument acheté neuf. Ce que j’ai surtout apprécié, c’est que Jos m’a continuellement tenu informé tout au long de l’avancée du projet. La durée et par là mon impatience grandissante étaient parfois insupportables, mais en valaient largement la peine.
L’expertise et le zèle de Jos, ainsi que l’utilisation de matériaux fiables, ont abouti à une belle réussite : un magnifique piano, qui m’était déjà familier avant qu’il eût trouvé sa place dans mon salon. »